Intrigue à l'anglaise - Adrien Goetz

Publié le par La Romanche

"Trois mètres de toile manquent à la Tapisserie de Bayeux, qui décrivent les derniers rebondissements de l'invasion de l'Angleterre par Guillaume le Conquérant. Que représentaient-ils ? Les historiens se perdent en conjectures. Une jeune conservatrice, Pénélope Breuil, ronge son frein au musée de la Tapisserie, à Bayeux.

La directrice du musée, dont elle est l'adjointe, est victime d'un attentat. Des fragments de tapisserie réapparaissent à Drouot. Pénélope est convoquée par le patron du Louvres qui lui confie une mission discrète. Cette semaine là, Diana, princesse de Galles, et Dodi al-Fayed, disparaissent sous le tunnel du pont de l'Alma. Devant Pénélope éberluée se déroule l'histoire secrète de la Tapisserie. Un mystère qui débute en 1066 et se prolonge jusqu'à ces jours tragiques de 1997. Drôle de trame..."



   Est ce la traduction.....ou ma méconnaissance des histoires de famille de Guillaume et de Diana...  ??? Toujours est il que j'ai eu du mal à aller au bout de ce livre.

Pourtant, un roman, plus ou moins policier sur fond de Normandie avec, de surcroît, une couverture fort sympathique...

Je suis déçue de ne pas avoir accroché plus que ça. Cependant, l'auteur nous livre toute une bibliographie (sur laquelle il s'est appuyé pour son roman) qui à l'air fort intéressante. Rien que pour ça, je ne regrette pas de l'avoir emprunté: le côté très positif de cette lecture: elle m'a donné envie d'approfondir mes (très) maigres connaissance au sujet de la Tapisserie. Qui sait, peut être un jour un article sur ce blog concernant le musée de la Tapisserie que je serai -enfin- allée visiter...


Au début de l'article, vous avez pu lire le quatrième de couverture, je vous livre ici les premières lignes de ce roman.

"Les yeux dans un verre

Bayeux, vendredi 29 août 1997

     "Un premier poste, c'est toujours un peu du Simenon."
     Wandrille, ce play-boy creux et insignifiant, n'avait rien trouvé d'autre à dire. Du Simenon: il veut dire cafés du coin jaunes et enfumés, toile cirée rouge avec des fleurs, pipe dans le cendrier, habitués au comptoir. Il ne se trompe pas. Sauf qu'il n'a même jamais du lire un Maigret. Il s'est contenté du cinéma, ou de Jean Richard à la télévision. Pauvre Wandrille. Comme il lui manque. Avec son beau prénom, aussi réussi que le sien. Pénélope et Wandrille. Quel plaisir d'avoir des parents cultivés. On en souffre toute sa vie. "

Je vous laisse vous faire votre propre idée de ce roman paru chez Grasset et dont le code ISBN est le suivant: 978-2-246-72391-2




Publié dans Corne pas ta page

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A
Gnagnagna.... PFFFFFFFFFFF!!! J'irais toute seule...
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L
<br /> ok, moi aussi j'irai seule....le même jour que toi...<br /> <br /> <br />
A
Je serais OK pour une visite de la Tapisserie....<br /> Allégeance Au Roy!!!
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L
<br /> Vendue ! (l'idée de la visite, pô toi...)<br /> <br /> <br />
L
J'aimerai pouvoir lire des romans mais voilà il faudrait dejà inventer des journées de 72 heures minimum lol!!!<br /> Bisous <br /> Béa
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L
<br /> J'avoue que j'aime bien que la lecture empiète un peu sur mon temps. Mais c'est beaucoup plus facile quand on est en congé parental...<br /> <br /> <br />